Allez, un petit rapport succint des derniers événements.
On avance à pas feutrés, problèmes d'emplois du temps. Mais ca progresse doucement.
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Toombarak, la ville des nomades, de par sa richesse culturelle et économique fait bonne impression sur le Shaani.
Très vite ils naviguent dans la ville et vont jusqu’à la tente du chef, et apprennent des choses :
Des humains utilisent l’aérodrome de Toombarak.
Ils viennent en camion depuis le sud
Ils ne parlent à personne dans la ville
Le shaani part alors vers le sud. Ils trouvent une base humaine à un jour de carriole.
Informations recueillies après une visite nocturne :
Dans l’entrepôt travaillent jour et nuit des morphes et quelques humains. Ils s’affairent à découper un énorme animal, taillant sa chair pour en faire des steaks congelés. Toute la base est protégée par un roulement de gardes : 1 à chaque mirador, 3 dans la caserne, le reste dort dans le grand bâtiment.
Depuis l’entrepôt des tubes s’enfoncent dans la rivière : un pour aspirer de l’eau, l’autre pour déverser les déchets organiques
Le bâtiment général comporte au rez-de-chaussée les stocks d’armes (harpons, filets…), de la nourriture humaine, des solvants industriels utilisés pour laver la viande.
Dans la caserne se trouve aussi un écran montrant une vue radar d’une gigantesque masse mouvante au sud de la côte, et un objet plus petit et rapide venant vers la base : très certainement des chasseurs qui reviennent !
Le shaani se cache sous la plateforme d’atterrissage et reste planquée une bonne journée. Effectivement, un aéronef revient, déchargeant ce qui ressemble à une baleine volante.
Les équipes s’affairant au rangement et à la préparation d’un autre départ, le shaani part se planquer dans le vaisseau. Et embarquent avec les humains pour une île céleste.
La Terre de Ciel
Arrivés sur une terre de Ciel, le shaani sort de l’aéronef et se cache.
Ils suivent les humains jusqu’à un village principalement de boréals. Les humains semblent négocier avec le chef pour savoir quelle bête chasser à grand renfort de caisses d’objets humains : médicaments, nourriture, tablettes arpege. Mais il semblerait que des delhions soient contre. Avant de se faire calmer par le chef.
Le shaani se fond dans la masse et va à la rencontre des delhions, surpris de voir des inconnus. Leur présence attire du monde et ils vont chez le chef, un vieux boréal.
Celui-ci leur dit que la baleine volante est un don des dieux, que jusque là uniquement les quelques delhions de l’île les chassaient dans le ciel, aidés du reste du village avec des harpons depuis le sol.
Depuis l’arrivée des humains il y a quelques mois le chef a décidé de laisser les humains chasser : ils vont plus vite, rapportent de la viande pour le village et prennent leur part.
A priori le chef ne se pose pas la question du cycle de reproduction des baleines car la bête des dieux est offerte par les dieux. Il y en a toujours eu, il y en aura toujours.
Globalement, le Shaani pense que le village se faire arnaquer. Mais que faire ?
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