Yep, vendu pour Naakar !

du coup, je vais profiter de la discussion pour partager les quelques concepts de créatures que j'avais fait (pas tous utiles, mais qui sait…), à savoir: Le Miyon, un gros poisson herbivore des marais à la chair gouteuse et nourrissante, l'öpthi, un petit volatile vif et agile dont on dit qu'il porte chance à celui qui le touche en plein vol, le pteromyn, mammifère prédateur des grand arbres qui fond sur ses proies en planant depuis les arbres (imaginé comme un croisement entre une panthère noire et un écureuil volant, initialement pour servir de monture…) ainsi que l'Urru, grand mammifère herbivore des foret blanches succinctement développé dans un autre sujet…

bah, pour être franc, il n'y a pas vraiment grand chose à dire de plus, mais je peux donner une description un peu plus détaillée.

– Le Miyon: Poisson herbivore des marais (je l'imaginait ressemblant à un genre de silure, en plus plat). assez imposant, les plus grand spécimen peuvent attendre un peu moins de trois mètres de long.Il se déplace lentement dans les fonds troubles en filtrant la vase pour se nourrir. Sa chair goûteuse et nourrissante en fait un aliment de choix (pas vraiment de caractéristiques spéciales en dehors de ça, à l'origine, c'était surtout une blague avec u joueur: on avait imaginé un "jeu" pratiqué par une tribu chasseresse des marais, durant lequel chacun tirait à son tour une flèche au hasard dans une eau trouble et riche en poissons, le "gagnant" étant celui qui remonte la plus grosse prise. il était donc coutume durant ce jeu d'encourager le tireur en scandant "le miyon, le miyon"… oui, cet animal animal avait été crée juste pour faire cette blague… tout comme le suivant.)

– L'öpthi: petit oiseau omnivore trouvable dans de nombreuses régions, préférablement sèches (pour l'apparence, je me l'imagine comme une petite hirondelle). Agile, alerte et extrêmement rapide, il s'enfuit au moindre danger à la vitesse de l'éclair, et se nourrit généralement de petit insectes ou plus rarement de graines. Sans caractéristiques spéciales en dehors de sa vitesse et de sa capacité à éviter le danger, on peux tout de même imaginer qu'il aie été apprivoisé comme porteur de message par certains peuples. De par la difficulté que le défi représente, il est courant de parvenir à toucher un öpthi en plein vol était un gage de bonne fortune.(Là encore, il y a une blague: cet oiseau était à la base là pour utiliser l'expression "viser l"öpthi", qui prenait alors le sens de "tenter un tir (ou plus largement une action) particulièrement hasardeux")

– Le Pteromyn (premier animal "serieux" de cette liste): mammifère prédateur vivant généralement dans les grand arbres. C'est un chasseur solitaire qui se présente au premier abord comme un félin dont la robe varie du brun sombre au noir. il possède également de large pans de peaux entre ses membres qu'il peux déployer pour planer. Il passe la majeure partie de son temps dans les arbres, sur les branches ou accrochés au tronc avec ses griffes, et utilise sa capacité à planer pour se déplacer d'arbre en arbre ou pour fondre sur ses proies.(Concernant sa taille, le "modèle initial" était assez imposant pour servir de monture à un ygwan, c'est peut être une taille assez absurde d'un point de vue portance. on peut peut être, pour le rendre plus adapté, le réduire à la taille d'une panthère (ce qui pourrait toujours en faire une monture pour les petits pieds :D), voire celle d'un ocelot.)

et enfin mon préféré, l'Urru: Grand mammifère des forets blanches (il mesurent généralement 4 mètres de la tête à la queue), paisible et relativement lents. Ils forment des colonies d'une dizaine d'individus et se nourrissent de tout ce qui pousse sur les arbres en se dressant sur leurs membres postérieurs pour profiter à la fois de tout leur hauteur et de leurs "mains" préhensiles. Ils sont en revanche incapable de se déplacer uniquement sur leurs deux jambes. Bien que possédant de par leur taille une force considérables, ils n'en font usage que pour se nourrir, et n'utilisent contre d'éventuels agresseurs que leurs chants. Ils sont en effet capables d’émettre des sons profonds et puissant, dont ils peuvent instinctivement faire des variations subtiles. En général d'une beauté pénétrante (notamment durant la saison des amours), et pouvant à ce moment soigner l’âme et l'esprit de l'auditeur, ils peuvent aussi devenir percant et redoutables, et ainsi ravager l'ame et l'esprit de la cible, voire même son corps pour les cibles les plus proches et fragiles. (pour avoir une idée des sons émis, voici l'inspiration)

Pour les öpthi, on peut peut être imaginer une utilité en tant qu'armimale, pour faire passer un message écrit à un endroit donné, ou bien pour distraire un adversaire, pour peu qu'on change son caractère pour en faire un oiseau joueur et taquin tout en gardant son coté insaisissable.

Pour le miyon, en revanche, à part d'être très bon en brochette… peut etre en donnant des propriété à la viande, ou bien en trouvant une utilité à un organe en relation à son régime alimentaire (soit purifiant/filtrant, ou alors un poison ou effet nauséabond lié à ce qu'il pourrait rester de la vase après ingestion…)

Je propose :

►Le Shaka Bora (pas eu le temps de le gribouiller, je vous le mettrai plus tard) : le corps ressemble à celui d'un plésiosaure, mais sa tête a une drôle de forme de losange, due à la présence d'un mécanisme composé de cartilages solides et souples et de puissants muscles formant une sorte d'arbalète biologique. A l'aide de ce mécanisme, le Shaka Bora projette un filament très solide de 10 à 20m de long pourvu à son extrémité d'une excroissance osseuse en forme de harpon, qui lui permet de tuer ou blesser une proie et de l'attirer à lui pour la broyer à l'aide de ses puissantes mâchoires aux dents acérées. Le Shaka Bora chasse aussi bien des proies dans l'eau que des créatures terrestres se trouvant sur les berges à sa portée.

►Le Gàrodak (pareil, pas eu le temps de le dessiner, je le ferai plus tard) : très gros animal plutôt paisible vivant uniquement sur un petit archipel des îles de Krëll. Cet archipel a (à juste titre) très mauvaise réputation chez les héossiens qui le considère comme maudit car ceux qui s'y rendent finissent par tomber malade et mourir… quand ils en reviennent. En fait, ce chapelets d'îles volcaniques comporte un volcan très ancien qui présente la caractéristique de produire une lave venant d'une grande profondeur, et qui contient de grandes quantités de radio-éléments lourds (uranium, polonium, etc…). Ces îles sont donc hautement radioactives, d'où le danger. Mais certaines créatures ont pu s'y adapter, dont le Gàrodak qui fait même mieux que celà : son organisme produit son énergie comme une petite centrale nucléaire. Il possède un ganglion qui accumule de la matière fissile et produit de la chaleur et de l'énergie par ce biais. Ainsi le Gàrodak ne se nourrit que d'émanations gazeuses, de certaines roches, et produit son énergie avec ce ganglion. L'animal, bien qu'imposant et lourdement cuirassé, n'est pas dangereux en soit : il est plutôt paisible. Mais les radiations qu'il émet sont mortelles pour un individu sans protections adéquates. On dit que sur ces îles vivraient une tribu de boréals étranges : leur peau est décolorée par endroits, et leur corps présente souvent de curieuses excroissances (tumeurs probablement, ou malformations congénitales). Bien que leur espérance de vie soit sensiblement plus courte que celles de leur congénères, ils semblent s'être adaptés à cet environnement hostile. En revanche, ils sont plutôt agressifs et primitifs, et on dit qu'ils pratiquent le cannibalisme. Il se dit qu'ils chassent le Gàrodak et récupèrent son ganglion ,"sa pierre de feu sombre", et s'en servent pour se chauffer et cuire leurs aliments. Notons que le volcanisme de profondeur de ces quelques îles fait remonter des minerais et des minéraux très rares, qui, malgré les risques, suscitent les convoitises de nombreux explorateurs avides de richesses. Souvent pour leur plus grand malheur.

Merci ^^

Et j'en ai deux trois autres en stock encore :p

(P.S. : Igor, je t'ai envoyé une invit' sur facedebouc, DSyne Papaherisson c'est moi)

(désolé, j'ai toujours pas eu le temps de faire les croquis, mais je suis en vacance la semaine prochaine, j'essaie de m'y coller, promis)

Encore une petite proposition :

► Le Kalnem (nom à discuter) : sorte de gros bernard l'hermitte terrestre arboricole. Le Kalnem est une sorte de crustacé (ou de gros insectoïde) dont le corps, relativement mou, nécessite une protection. Ainsi dans les Grands Arbres, en se déplaçant sur ses 6 grandes pattes articulées (semblables à celle d'une araignée de mer) le kalnem s'approprie des souches ou des anfractuosités dans les écorces pour s'y loger. Ses antennes, capables de capter la moindre vibration à des dizaines de mètre, lui permettent de repérer d'éventuelles proies, qu'il capture à l'aide de ses deux tentacules puissants, après les avoir paralysées d'un rapide coup de son dard empoisonné (le poison ne tue pas, sauf à très haute dose, mais paralyse en une Action). Le kalnem est généralement gros comme un chat, et ne s'attaque donc qu'à de petites proies. Il est toutefois recherché pour l'extraction de son venin, utilisable en médecine (ou comme arme). Notons toutefois que si le venin tétanise les muscles, il n'endort pas ni ne supprime la douleur. De ce fait, il est très prisé par certains criminels qui souhaitent torturer leurs victimes. Enfin, une rumeur court sur l'existence de kalnem de très grande taille au plus profond du Nem-rod ou peut être du Monga. De la taille d'un woon adulte, ces kalnem s'attaqueraient même aux anthéens… mais ça n'est qu'une rumeur…

J'aime beaucoup le design Denys, je les retravaillerai à l'occase !

C'est toujours dans les tuyaux, ça s'appellerait "Carnets de voyages" et il y aurait plein de choses dedans… On a déjà de quoi faire 150 page il me semble..

Je pense qu'il faudrait nécessairement des carnets de voyages un par un région. Mais également des carnets de voyages sur les plantes (en y incluant les utilisations en pharmacopée) également un par région. Les éléments pathogènes (infections, maladies, parasites), encore un par région.

Donc de quoi nourrir un univers, mais également de quoi faire vivre son auteur…